Big Band
Auteurs   Mitchell, Eddy (Auteur)
Edition  Polydor , 2015
Matériel Accompagnement   1 LIVRET
Langue d'édition   français
Catégories   Chanson française
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Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Médiathèque 1781600011489 099 MITCAdulte / DiscothèqueDisponible
Contient :
Il faut vivre vite
Tu ressembles à hier
Un cocktail explosif
Quelque chose a changé
Combien je vous dois ?
Un rêve américain
Si j'étais vous
Je n'ai pas d'amis
Avec des mots d'amour
Journaliste et critique
Promets-moi la lune
Pleure
Résumé : Fin 2014, Eddy Mitchell était sur scène aux côtés de ses vieux complices Jacques Dutronc et Johnny Hallyday pour la tournée Vieilles canailles. Indubitablement, l’effet sur Schmoll fut des plus revigorants. Lui qui avait pourtant annoncé sa retraite scénique en 2011, aborde désormais 2016 avec la perspective d’une nouvelle série de concerts parisiens en solo et surtout ce nouvel opus, son 36ème, intitulé Big Band, qui a la lourde charge de succéder au réussi Héros, paru en 2013. Une fois de plus, Monsieur Eddy démontre sa capacité à prendre de la hauteur en toutes circonstances, le tout avec un swing intemporel. S’il s’attaque à la superficialité des réseaux sociaux sur Je n’ai pas d’amis , c’est avec un humour corrosif qui est la marque de fabrique de ce nouvel album, dont les musiques ont été concoctées par son acolyte Pierre Papadiamandis. Ainsi, les médecins s’attirent son courroux boudeur et provocant sur le grinçant Combien je vous dois ? , et les journalistes à la gâchette facile sur le cinglant Journaliste et critique , quand le monde virtuel toujours plus intrusif est stigmatisé dans Avec des mots d’amour . La nostalgie est également au rendez-vous puisqu’Eddy Mitchell aime à se rappeler l’Amérique des grands espaces et des cow-boys dans Un rêve américain et rend notamment hommage à Frank Sinatra à deux reprises. La première sur un de ses textes, Il faut vivre vite , et la seconde sur une adaptation du standard magnifié par The Voice : Fly Me to the Moon , francisé pour l’occasion en Promets-moi la lune . Elvis Presley apparaît également en filigrane lorsque résonne Pleure , adaptation de Hurt , une chanson de Roy Hamilton qu’avait repris avec succès le King en 1976, et de manière plus confidentielle, une décennie avant lui, Alain Barrière ou Dalida dans Ma vie et À qui ? . Avec ce Big Band poli comme un diamant, Monsieur Eddy ne perd donc rien ni de son flegme, ni de son swing.