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| Auteurs | Nightwish (Auteur) |
| Edition | Nuclear Blast , 2015 |
| Langue d'édition | français |
| Catégories | Métal, Hard Rock |
| Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0 | |
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Contient :
Shudder Before The Beautiful
Weak Fantasy
Élan
Yours Is An Empty Hope
Our Decades In the Sun
My Walden
Endless Forms Most Beautiful
Edema Ruh
Alpenglow
The Eyes Of Sharbat Gula
The Greatest Show On Earth
Résumé : Le metal en général et le metal symphonique en particulier, ont toujours été friands de concepts où l'ésotérisme et le fantastique se côtoient sans façons. Véritable emblème de ce courant où les orchestres classiques importent presque autant que les guitares électriques, Nightwish ne déroge pas et convoque rien moins que l'évolution des espèces selon Charles Darwin comme thème de son huitième album. D'un point de vue musical, Endless Forms Most Beautiful restera comme le premier album studio avec Floor Janssen (qui remplace Anette Olzon, elle même substitut à Tarja Turunen), mais aussi comme l'album du retour à un power metal beaucoup moins progressif que ne l'était la tendance des disques précédents. Endless Forms Most Beautiful renoue avec une certaine violence où la voix parfois fluette de Floor Janssen semble martyrisée par le mixage. En grande forme, le guitariste Emppu Vuorinen tire son épingle du jeu, sa guitare semblant diriger les orchestrations comme le ferait la baguette d'un chef réputé. Épique et lyrique à souhait, Endless Forms Most Beautiful est un album particulièrement égal où chaque chanson mérite les éloges. Démarré paisiblement, Edema Ruth se transforme en cataclysme et illustre bien la tonalité d'un disque d'où sont bannis les temps morts. Plus gothique, The Eyes of Sharbat Gula apporte cette touche onirique sans laquelle le metal symphonique ne serait pas lui-même. Débuté pied au plancher, Endless Forms Most Beautiful se clôt avec la longue suite progressive de The Greatest Show on Earth , divisée en cinq mouvements. En choisissant de mette la chanteuse au même niveau que les instruments, Nightwish semble vouloir se prévaloir du syndrome de starisation qui a frappé tour à tour ses deux précédentes vocalistes. Une façon de montrer que l'essentiel est le groupe et sa musique et non les individus. Un message qu'Endless Forms Most Beautiful fait passer avec brio. François Alvarez - Copyright 2015 Music Story
Shudder Before The Beautiful
Weak Fantasy
Élan
Yours Is An Empty Hope
Our Decades In the Sun
My Walden
Endless Forms Most Beautiful
Edema Ruh
Alpenglow
The Eyes Of Sharbat Gula
The Greatest Show On Earth
Résumé : Le metal en général et le metal symphonique en particulier, ont toujours été friands de concepts où l'ésotérisme et le fantastique se côtoient sans façons. Véritable emblème de ce courant où les orchestres classiques importent presque autant que les guitares électriques, Nightwish ne déroge pas et convoque rien moins que l'évolution des espèces selon Charles Darwin comme thème de son huitième album. D'un point de vue musical, Endless Forms Most Beautiful restera comme le premier album studio avec Floor Janssen (qui remplace Anette Olzon, elle même substitut à Tarja Turunen), mais aussi comme l'album du retour à un power metal beaucoup moins progressif que ne l'était la tendance des disques précédents. Endless Forms Most Beautiful renoue avec une certaine violence où la voix parfois fluette de Floor Janssen semble martyrisée par le mixage. En grande forme, le guitariste Emppu Vuorinen tire son épingle du jeu, sa guitare semblant diriger les orchestrations comme le ferait la baguette d'un chef réputé. Épique et lyrique à souhait, Endless Forms Most Beautiful est un album particulièrement égal où chaque chanson mérite les éloges. Démarré paisiblement, Edema Ruth se transforme en cataclysme et illustre bien la tonalité d'un disque d'où sont bannis les temps morts. Plus gothique, The Eyes of Sharbat Gula apporte cette touche onirique sans laquelle le metal symphonique ne serait pas lui-même. Débuté pied au plancher, Endless Forms Most Beautiful se clôt avec la longue suite progressive de The Greatest Show on Earth , divisée en cinq mouvements. En choisissant de mette la chanteuse au même niveau que les instruments, Nightwish semble vouloir se prévaloir du syndrome de starisation qui a frappé tour à tour ses deux précédentes vocalistes. Une façon de montrer que l'essentiel est le groupe et sa musique et non les individus. Un message qu'Endless Forms Most Beautiful fait passer avec brio. François Alvarez - Copyright 2015 Music Story
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