Contient :
Sweet & Slow
Take Five
I'm Crazy 'Bout My Baby (And My Baby's Crazy 'Bout Me)
Por Do Sol
Viper's Drag
New Dawn
Out in the Ocean
How Can You Face Me Now?
Allegro
Vivace
Helena's Honeysuckle
Dusk
Résumé : Tout ce répertoire est fait de musique avec laquelle j’ai grandi, ou avec laquelle je crois avoir grandi, en gardant bien à l’esprit que ma croissance est loin d’être achevée, jusqu’ici… NIGEL KENNEDY, à propos de RECITAL Voici le retour de Nigel Kennedy, depuis son dernier album chez Sony Classical, paru l’an passé. Il nous propose, entre autres à partir de Bach et du Jazz, son nouvel album intitulé RECITAL ; il s’inspire et invente sur des styles propres au Jazz, faisant référence à Fats Waller (I’m crazy ‘bout my Baby), à Dave Brubeck (Take Five), ou à Bach (Sonate pour violon n 2, Concerto pour 2 violons), ou à ses propres compositions. Nigel Kennedy n’a de cesse d’improviser et de faire référence soit à la pop soit, comme ici, au Jazz, dont il est et depuis toujours un grand connaisseur. Parallèlement à sa carrière de violoniste classique, une des plus brillantes de sa génération, débutée rappelons le sous les auspices de Yehudi Menhuin avant la Julliard School de New York, il affectionne particulièrement la musique avec ses amis musiciens d’autres horizons, et partage avec eux le gout des soirées d’improvisation. On rappelle aussi que Nigel Kennedy a battu tous les records de vente (en millions d’exemplaires) de disque de violoniste, avec ses 4 Saisons, grâce auxquelles il s’est fait connaitre d’un très large public, non initié au classique notamment. Il est resté fidèle à cette image, tout comme unanimement, on lui reconnait ses dons de musicien exceptionnels et hors du commun. Avec un sens inouï de l’invention, les musiciens réunis nous offrent un programme qui fera sensation et pour lequel ils entreprennent une grande tournée d’avril à juin, en Grande Bretagne et en Allemagne. RECITAL a été enregistré dans les mythiques studios d’Abbey Road ; l’idée en est venue à Nigel Kennedy au terme d’une série de concerts Bach qu’il aimait conclure par de magistrales improvisations ; on y retrouve de singulières couleurs, à la fois venues d’Irlande, des musiques arabes ou brésiliennes, ou encore caractéristiques des musiques celtiques.

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